reportage ARTE

PAs grand chose à dire mais j'aime beaucoup te lire...

annouch1 a écrit:

PAs grand chose à dire mais j'aime beaucoup te lire...

euh merci.
sauf que quand je me relis, je vois "en vérité" par ci "en vérité"par là, et ça commence à m'agacer. faut que je trouve autre chose en vérité

annouch1 a écrit:

PAs grand chose à dire mais j'aime beaucoup te lire...

Ben tiens, j'osais pas intervenir parce que je me disais que à part "wahou caro", je savais pas quoi dire!

Moi non plus je ne sais pas trop quoi dire, si ce n'est que Caro, j'adore te lire... Et je suis bien contente d'avoir le plaisir de la faire tous les jours

Cathy a écrit:

Moi non plus je ne sais pas trop quoi dire, si ce n'est que Caro, j'adore te lire... Et je suis bien contente d'avoir le plaisir de la faire tous les jours

oh ben ça pour sûr !
tu n'as qu'à aller dans la rubrique autour d'un café et là je finis en bécassine c'est ma cousine ! z'avez qu'à dire que je ne dis jamais rien les autres jours ?

Je me rappelle aussi une autre réaction de ma mère, qui m'avait stupéfiée à l'époque.

Qql jours après l'arrivée de Pierre chez nous, ma mère me dit qu'elle aimerait bien passer pour le voir : ok, pas de prb, au contraire.

Elle passe l'après-midi avec Pierre ds les bras, lui parle, tout ça. A un moment, il était crevé (il avait à peine 3 mois à l'époque), je dis à ma mère que je vais devoir le coucher.

Et là, elle me le rend, et me dit "c'est bien, j'ai fait connaissace avec mon petit fils". Et là, elle lui fait un bisou, m'embrasse, passe son manteau et s'en va.

J'étais scotchée.

Aurait-elle fait de même avec un enfant bio ?

A ce jour, je n'en sais toujours rien.

Le plus important, c'est qu'elle adore Pierre, me direz-vous. C'est vrai. Mais en même temps, c'est bizarre, cette réaction.

Je sais pas Lorène, en même temps, les réaction des mamans sont un peu "étranges" parfois quand leur fille devient maman à son tour, ma mère aussi je l'ai trouvée "chelou"... Mais de toute façon, ma mère c'est une marsienne pour moi...

Sylvie a écrit:

Doophette a écrit:

j'ai lu ça d'une traire

HS: z'avez vu comme par moment son côté "fille de la campagne" revient à la charge?

(et pourquoi toi tu vois tjrs ce genre de choses hein )

Lorène a écrit:

Et j'en suis tellement heureuse, Caro, que tu te scotches ainsi.

Et moi aussi d'ailleurs

Pour le reste... je reste sans voix.
Je ressens une émotion en te lisant mais une émotion!!! C'est dingue...

Lorène a écrit:

Je me rappelle aussi une autre réaction de ma mère, qui m'avait stupéfiée à l'époque.

Qql jours après l'arrivée de Pierre chez nous, ma mère me dit qu'elle aimerait bien passer pour le voir : ok, pas de prb, au contraire.

Elle passe l'après-midi avec Pierre ds les bras, lui parle, tout ça. A un moment, il était crevé (il avait à peine 3 mois à l'époque), je dis à ma mère que je vais devoir le coucher.

Et là, elle me le rend, et me dit "c'est bien, j'ai fait connaissace avec mon petit fils". Et là, elle lui fait un bisou, m'embrasse, passe son manteau et s'en va.

J'étais scotchée.

Aurait-elle fait de même avec un enfant bio ?

A ce jour, je n'en sais toujours rien.

Le plus important, c'est qu'elle adore Pierre, me direz-vous. C'est vrai. Mais en même temps, c'est bizarre, cette réaction.

Quand nos mère devienne grand-mère elle change de comportement, je me souviens de ma mère après la naissance de Valérian,qui téléphonait, prenait des nouvelles de son petit fils et raccrochais...le reste de la famille oublier
Jusqu'a ce que je lui fasse remarquer.
Bon elle le fait plus, mais quand même les petits enfants passent avant tout le monde.
A l'arrivé de Rose elle a inviter pleins de personnes, pour leur presenter.
Sophie maman de Valérian et Rose

Merci Caroline.

cette semaine ARTE axe son reportage sur l'adoption toujours bien sûr, mais abordée du côté du regard des enfants adoptés. C'est donc forcemment une semaine émotion garantie. En quête de leurs racines, désireux d'en savoir plus sur leurs origines.

Alors là nous retrouvons le petit José, depuis maintenant 2 ans en Allemagne (il a 5 ans) qui avait passé 15 mois chez une nounou en colombie. C'est son regard mais traduit par le ressenti des parents dans le sens où forcemment il est encore jeune pour s'exprimer librement.
Il dit qu'il n'a pas de souvenirs d'avant son arrivée en Allemagne. Ses parents vont adopter une petite fille originaire également de Colombie, choix délibéré des parents pour "limiter" la différence physique entre les enfants. Il semble que José interroge énormément ses parents sur avant l'allemagne, il veut tout savoir, le voyage en avion ... tous les détails et aime cette histoire qui ses parents lui racontent deux fois par semaine.

Personnellement moi je ne le fais pas, non que je nie l'histoire passée de Jonas, bien au contraire, mais ce n'est pas comment dire une histoire comme "le petit poucet", c'est son et notre histoire à laquelle je réponds ou que je raconte sur demande. Il le sait, et sait que le sujet est libre. Mais chacun agit comme il le sent aussi et comme il ressent aussi son enfant je pense.

Donc là ils sont en Colombie pour 4 semaines, avec José bien sûr, pour les formalités et l'accueil de Maria, la petite soeur. Les parents ont peur que la réaction peut être traumatisée de la petite fille perturbe José, peuvent l'affecter.

On ne sait pas trop en fait ce que ressent le petit José à l'issue de ce reportage.

Par contre, ARTE nous amène également à la rencontre de Rebecca, une jeune allemande de 27 ans, adoptée en Corée à l'âge de 2 ans. Là en vérité, c'est plus personnel comme réaction puisque c'est bien sa perception qui est en ligne de mire. Et elle est vraiment troublante. Tout en sachant que tous les enfants ne réagissent pas pareil et qu'une histoire est propre à chacun.
C'est très dur les commentaires de cette fille. Dur dans la réflexion qu'elle pose.
plusieurs questions comme : l'adoption était-elle mieux ou pire pour nous ? Si l'on en croit l'époque sa réponse est oui puisqu'elle serait certainement morte à ce jour. Mais au jour d'aujourd'hui, elle s'interroge : est-il nécessaire de faire venir des enfants d'ailleurs en Allemagne ?
Elle par exemple a été adoptée sans son accord puisque toute bébé. N'aurait-elle pas préféré grandir dans un pays où tout le monde lui ressemble au lieu de grandir sans sa culture ? Tout cela sans dire que ses parents ne sont pas de bons parents bien évidemment. Pour elle, elle ne pourrait adopter un enfant étranger, elle pense qu'un enfant doit grandir là où il naît. Si elle devait adopter, elle agirait en fonction de l'autre, adopterait un coréen et irait vivre en corée.

Pour elle, il lui manque quelque chose pour bien s'épanouir. Et elle considére dans ce cas-là (tous les enfants n'ont pas ce manque) qu'elle doit tout faire, tout creuser pour effacer ce manque. Parce que cela a pris à ses yeux une importance incroyable, voire vitale.

Elle se retrouve à Séoul, à l'organisme qui a validé son adoption. Elle y récupère deux photos d'elle bébé, son nom coréen et l'explication (en corée la coutume : enfant trouvé porte le nom de la directrice de l'orphelinat où il est confié). Elle fera publier ses deux photos dans le journal avec l'espoir .. et passera dans une émission de télé direct "retrouvaille".
Elle se dit amputée d'une partie de sa vie, même si elle n'avait que deux ans. Il lui manque une personne dans sa vie.

Je l'avoue, certaines de ses réflexions m'ont troublé, certaines même heurté. Et là, je reste un peu sur ma faim, j'aurais aimé un peu plus de son ressenti sur sa famille (allemande), sur ses sentiments pour sa famille, pour mieux comprendre sa quête.


voilà pour ce soir.

Merci Caro...

Merci Caro...

J'ai regardé également. Je ne sais pas mettre les mêmes mots que toi desus, n'ayant pas ton vécu, alors tu me permets de mieux réfléchir!

Si tu as le temps et l'envie, tu me dirais ce qui t'as heurtée dans le reportage?

ben déjà une chose ce sentiment fort chez Rebecca d'être comme qui dirait sans patrie, sans culture, sans presque histoire. comme une plante que tu sors d'un endroit pour la replanter ailleurs et ça ne prends pas ... elle ne se développe pas quoi.

Regarde son compagnon, c'est aussi un enfant adopté en Corée. Un besoin de se rapprocher raccrocher à quelque chose qui n'existe plus et qui malheureusement ne pourra re-exister. J'espère que je suis claire.


ça c'est une des choses fortes qui m'a heurté ...

Caroline a écrit:

ben déjà une chose ce sentiment fort chez Rebecca d'être comme qui dirait sans patrie, sans culture, sans presque histoire. comme une plante que tu sors d'un endroit pour la replanter ailleurs et ça ne prends pas ... elle ne se développe pas quoi.

Regarde son compagnon, c'est aussi un enfant adopté en Corée. Un besoin de se rapprocher raccrocher à quelque chose qui n'existe plus et qui malheureusement ne pourra re-exister. J'espère que je suis claire.


ça c'est une des choses fortes qui m'a heurté ...

ok! j'imaginais "heurtée" en tant que maman d'un petit garçon adoptée. attaquée, quoi, choquée personnellement!
Et je ne voyais pas, avec mon regard à moi, ce qui pouvait t'avoir blessé...

et lié à cela le culte (là c'est trop fort mais ce soir pff) de la différence.


mais c'est pour cela que je dis qu'il manque quand même à ses réflexions, une réflexion basée sur sa relation avec ses parents (adoptifs)
parce que là, on a que le regard "quête des origines" et on n'a pas le regard "vie en allemagne"

punaise je suis pas claire du tout
grr

Caroline a écrit:

punaise je suis pas claire du tout
grr

si si, carrément que si!

AnneLG a écrit:

Caroline a écrit:

ben déjà une chose ce sentiment fort chez Rebecca d'être comme qui dirait sans patrie, sans culture, sans presque histoire. comme une plante que tu sors d'un endroit pour la replanter ailleurs et ça ne prends pas ... elle ne se développe pas quoi.

Regarde son compagnon, c'est aussi un enfant adopté en Corée. Un besoin de se rapprocher raccrocher à quelque chose qui n'existe plus et qui malheureusement ne pourra re-exister. J'espère que je suis claire.


ça c'est une des choses fortes qui m'a heurté ...

ok! j'imaginais "heurtée" en tant que maman d'un petit garçon adoptée. attaquée, quoi, choquée personnellement!
Et je ne voyais pas, avec mon regard à moi, ce qui pouvait t'avoir blessé...

heurtée dans le sens "interpellée intriguée mise en questionnement, apport d'une autre vision déjà réfléchie pourtant", et pas dans le sens blessée euh comment d'une blessure quoi. pourquoi les mots m"échappent ? il en manque des mots en fait dans la langue française je suis sûre en vérité. Un truc qui exprimerait plus encore ce que je veux dire.
Mais c'était tellement fort chez cette fille ...

C'est assez dérangeant pour nous parents adoptifs.

En même temps, il ne faut pas oublier de relativiser : les gens heureux n'ont pas d'histoire ; partant de là, on ne fait pas d'émission TV avec eux... donc, toujours se rappeler qu'on ne nous montre que des écorchés de la vie. Même si l'adoption c'est aussi ça, penser que c'est aussi parfois beaucoup plus simple, avec des enfants qui intègrent leur histoire sans autant de malaise.

Nous avons besoin, parfois, de nous rappeler que nous n'avons pas commis une montrueuse erreur, un abus de pouvoir, en prenant en otage un enfant qui n'a pas eu le choix...

Caroline, merci encore de suivre pour nous ces reportages. Au vu de ce que cela remue chez toi, je sais que j'ai pris la bonne décision en ne les regardant pas...

Merci

en fait là je crois que je vais écouter pour une fois Sylvie et je vous en reparlerait à froid parce que comme ça mes mots seront plus clairs car là ils sont peu perdu parce que j'ai d'autres maux stupides dans ma tête cogitante.
peut être que jour après jour on aura une vision plus globale parce que là vraiment ça m'agace presque qu'il y ait l'absence de vision "vie en famille en allemagne" et la phrase qui m'a heurté mais parce qu'il manque justement cette partie là "sans dire que nos parents sont mauvais" (cad sa famille allemande).
c'est vraiment trop court et quasi culpabilisant dans le reste de ses questionnements.

Caroline a écrit:

et lié à cela le culte (là c'est trop fort mais ce soir pff) de la différence.


mais c'est pour cela que je dis qu'il manque quand même à ses réflexions, une réflexion basée sur sa relation avec ses parents (adoptifs)
parce que là, on a que le regard "quête des origines" et on n'a pas le regard "vie en allemagne"

punaise je suis pas claire du tout
grr

Oui c'est ce que j'allais demander en ayant juste lu ton premier post...
On ne voit pas sa relation avec ses parents adoptifs?
Sa vie aussi parmi la famille entière de ses parents adoptifs...

Ptèt que le fait qu'elle se dise ainsi sans patrie, est ptèt dû au fait que ça ne se soit pas super bien passé... Sais pas...

Mince, j'veux savoir maintenant!

Doophette a écrit:

Ptèt que le fait qu'elle se dise ainsi sans patrie

elle ne l'a pas dit c'est mon analyse, c'est ce que cela donnait comme impression ...

Ouki...

en fait, ce que je n'ai pas apprécié dans ce reportage c'est que cette vision de l'adoption côté adoptés est faussée réellement faussée. Jusqu'à présent j'aimais le côté respectueux de ce documentaire tant il respectait à la fois les sentiments des parents, mais également les sentiments des enfants. Tout n'était que pudeur, lecture souvent des regards plus que des mots, douceur de la rencontre même si elle est souvent difficile comme l'est un changement radical dans la vie de quelqu'un.
On retrouve un peu cet esprit dans le voyage de la famille du petit José en Colombie, le respect des parents qui malgré l'émotion dûe à la rencontre de la petite soeur ont toujours été attentifs à la perception et à ce que pourrait éventuellement ressentir le petit José. Des parents quoi.
Seulement c'est vrai, José n'a que cinq ans donc il est encore trop tôt pour savoir si ce voyage en Colombie représente à ses yeux quelque chose d'autres que la rencontre de la petite soeur.

Dans l'autre reportage, les réflexions certe intéressantes et certainement pesées de Rebecca m'ont frappé et même agacé. Parce que le reportage tendrait à faire passer tant le système même de l'adoption que les parents adoptants, pour des "déracineurs" d'enfants qui ne réfléchissent pas vraiment. Je m'explique. Souvent les parents adoptants sont auprès des enfants dans leur éventuelle quête des origines, sachant que cette quête n'est pas une fatalité. Certains en ont besoin, et lorsqu'ils découvrent, lorsqu'ils ont les réponses, ils se posent complétement dans leur nouvelle vie. C'est cette vision du "mal être des enfants adoptés" même si elle peut exister ... est sur ce truc un peu trop voyeuriste, un peu trop "exagérer" même si je respecte le choix de Rebecca. Mais vraiment, j'aurais aimé qu'elle en dise un peu plus sur sa famille, ou que sa famille dise quelques mots. Elle est presque "inexistante" là.
Mais bon la suite du reportage nous en dira peut être plus.


éditer pour complément : lorsque Jonas sera bien plus grand et si il en faisait la demande, je serais à ces côtés pour des recherches éventuelles qui seraient malheureusement très difficiles. Mais je serais avec lui, je l'aiderai.

suite ...
Rebecca à la recherche de ses origines en corée.

Elle participe donc à une émission de télé style "perdu de vue" et là, elle dit avoir toujours su être adoptée mais n'avoir remarqué sa différence physique que plus tard. La raison qui la poussent à faire cette recherche est qu'elle a toujours beaucoup pensé à eux même très jeune. En coréen, elle dit à l'antenne "maman, papa, où êtes-vous ? J'aimerais vous rencontrer.
Puis elle rejoint le sud du pays où 7 familles potentielles pourraient être sa famille biologique. Elle part donc à leur rencontre pour en gros se débarasser de l'idée qu'il existe peut être quelqu'un qui la cherche, ne sachant pas ce qu'elle est devenue, ne sachant même pas qu'elle a été adoptée à l'étranger. Elle a besoin de savoir également comme cela s'est passé, son abandon, pourquoi pour mieux comprendre la manière dont sa vie s'est déroulée jusque là, pour l'intégrer, comme pour enfin coller l'avant adoption à l'après adoption. La pièce du puzzle qui manque au tableau de sa vie.
Sur la place de l'église où elle aurait été trouvée, elle regarde le moindre détail espérant un flash, espérant faire ressurgir un souvenir mais elle en est incapable, alors qu'elle sait qu'elle a du un jour déjà s'y trouver.
Puis la rencontre troublante je trouve, de plusieurs personnes qui auraient pu être de sa famille biologique. Je n'y ai ressenti aucune âme, pas de gêne quelconque, pas d'émotions partagés. D'ailleurs cette première rencontre lui laisse une grosse déception. Puis elle rencontre un père "possible", ancien pêcheur. Là, enfin je dirais, y'a une émotion alors que rien n'est sûr, y'a quelque chose de vrai dans cet homme, de douloureux, et comme elle le note, cette rencontre est plus bouleversante du côté de cet homme que d'elle. Lui par rapport aux précédente, ne la regardait pas avec inquisition, mais avec l'amour passé de sa femme qui semblerait ressembler à Rebecca. Il souhaite d'ailleurs faire un test ADN.
Et en même temps, il restera une rencontre d'un dernier "père potentiel".

Cela laisse vraiment bizarre ce reportage qui suit Rebecca. je ne sais pas expliqué, mais il manque quelque chose d'impalpable mais l'essentiel. On dirait où alors elle est vraiment troublé par la caméra, on dirait donc qu'elle n'a pas d'émotions tant dans sa recherche que dans sa vie actuelle.
bizarre sensation vraiment.


Ensuite on revient vers Carolina une petite fille adoptée également en Colombie. Qui a eu de gros soucis de santé peut être lié à son passé, qui a subi plusieurs opérations et malheureusement qui a presque perdu l'audition d'une oreille.
Les premières questions sur son passé sont venues lorsqu'elle a vu une amie à sa maman allaiter son nouveau-né. Est-ce que j'étais dans ton ventre ? Est-ce que j'ai bu ton lait aussi ? Et les réponses honnêtes des parents non, certainement ta mère biologique qui devait avoir la même couleur de peau que toi, te ressembler ... Ils la soutiendront à sa majorité pour aller à la rencontre de son passé parce qu'ils sentent déjà que ce sera important pour Carolina.

Cela ressemble d'avantage à ce que je ressents. Cela ressemble d'avantage aussi aux premières questions de Jonas, lors de la naissance du bébé d'une amie. Et l'énorme déception aussi de ne pas être issu de moi en vrai, et peut être la prise de conscience de la différence.

qui le sait.

voilà pour ce soir, sachant que la partie "Rebecca" me déçoit un peu par rapport aux sentiments alors que les autres m'interpellent, peut être liés à l'âge des enfants, va savoir aussi.