Terreurs nocturnes

Petit topo de notre situation: nous avons déménagé chez mes beaux-parents (que j'adore, que Loïc connait super bien et chez qui il passe deux jours semaine, les 3 jours restant il est en crèche) en attendant la fin du chantier de notre maison. Ca devrait durer 3, 4 mois.

Les nuits de Loïc sont très agitées depuis ce déménagement alors qu'il avait tjs très bien dormi (mais peu, c'est un lève-tôt).

En première partie de nuit, il se réveille en hurlant comme je ne l'avais jamais vu faire, il se cambre, il se débat et on a l'impression qu'il ne nous voit pas, il ne remarque pas qu'on est là. Puis subitement, il se calme, et se rendort (dans mes bras ou dans notre lit....le voir ainsi m'angoisse tellement que je le prend d'office).

Après quelques recherches sur internet (et discussion avec lara), je pense à des terreurs nocturnes, qui diffèrent du cauchemar: l'enfant dort, ne se rend compte de rien et ne s'en souvient pas. Ca vient en début de nuit et non pas en fin comme le cauchemar. Ca arriverait en fin de sommeil profond, juste avant le sommeil paradoxal qui lui est le sommeil des rêves ou cauchemars.

Je lis qu'il vaudrait mieux ne pas réveiller l'enfant, et le laisser se calmer seul. Qu'en pensez-vous? L'avez-vous vécu avec vos enfants? Qu'avez-vous fait?

J'ai trouvé ceci :

Citation :

Les cauchemars et les terreurs nocturnes des enfants sont des choses terribles à vivre pour les parents, qui ne savent pas toujours comment réagir et se sentent souvent impuissants.
Quelles sont les différences entre cauchemars et terreurs nocturnes? Dans les cas de terreur nocturne, l’enfant se réveille brusquement dans un état de panique aigüe, et il aura au moins deux des symptômes suivants :

- Il se réveille en poussant un cri strident.
- Il est en proie à la terreur ou à la souffrance.
- Il pleure, gémit, hurle, marmonne de façon incohérente.
- Il s’assoit brusquement, bondit hors du lit ou court dans la pièce.
- Les yeux de l’enfant sont ouverts mais il ne voit pas, il paraît hébété. Il peut avoir des hallucinations.
- Son cœur bat deux fois plus vite que normal, sa respiration est rapide et superficielle.
- Il reste agité quelques minutes (jusqu’à 30 minutes).
- Il repousse les tentatives de consolation.
- Ces crises arrivent habituellement 1h30 après qu’il se soit endormi.
- Ces crises se produisent habituellement entre 3 et 8 ans.
- L’enfant ne se rappelle pas ou presque d’images de rêve.
- Il ne se rappelle de rien le lendemain matin.

Comment intervenir

- Soyez disponible et protecteur
- N’essayez pas de maintenir l’enfant de force ou de l’immobiliser, sauf s’il le faut absolument pour sa sécurité. Toute contrainte peut intensifier la crise.
- Ne grondez pas, n’essayez pas de réveiller l’enfant en le secouant, en criant ou en le giflant.
- Touchez l’enfant avec légèreté, entourez-le de vos bras ou caressez son visage et ses bras avec douceur.
- Marchez à côté de lui s’il s’agite.
- Parlez-lui doucement, calmement. Rassurez-le, même s’il ne paraît pas vous entendre. Dites-lui : « Tout va bien, c’est fini maintenant, je suis là… »
- Passez-lui sur le visage, avec légèreté, une débarbouillette imbibée d’eau tiède. Cela peut l’aider à se ressaisir.
- Laissez-le se rendormir dès que possible.
- Dites-vous bien qu’il n’y aura probablement rien de grave. Les accès de terreur nocturne disparaissent avec le temps.

Les causes probables

Les terreurs nocturnes sont considérées par les spécialistes comme un dérèglement du mécanisme de réveil dû à une immaturité du système nerveux. L’épisode débute pendant un stade de sommeil très profond. Au lieu de traverser progressivement les stades jusqu’au stade 1, l’enfant est catapulté vers le réveil, et la modification rapide de la conscience provoque un sentiment de terreur. On ne comprend pas toutefois pourquoi surviennent ces crises. Parfois elles sont déclenchées par une fièvre élevée, une blessure crânienne ou d’autres traumas. Elles peuvent aussi être provoquées par un stress affectif, de la fatigue, un stimulus externe brusque.

La plupart des spécialistes affirment que ce trouble bouleverse davantage les parents ou les témoins que la victime elle-même, qui d’ordinaire ne se souvient de rien. Il semble que les terreurs nocturnes soient plus fréquentes chez les garçons chez qui en outre elles se prolongent plus longtemps. En général, les enfants en sont délivrés à l’adolescence.

Traitements

En général, on recommande de voir un pédiatre ou de consulter un centre d’étude du sommeil. Certains spécialistes sont d’avis qu’il ne faut pas traiter, mais simplement être patient. Si votre enfant prononce des phrases intelligibles, notez-les avec soin, elles pourront peut-être vous aider à dénouer les fils entremêlés de sa terreur. Il pourra dans certains cas être utile de consulter un psychologue pour enfants.
L’homéopathie peut aussi s’avérer très utile, mais notez bien qu’il n’existe pas de produit miracle, chaque cas est différent et une consultation avec un homéopathe (uniciste de préférence) sera nécessaire pour cibler le bon produit.

Source : "Comprendre les rêves de vos enfants", par Patricia Garfield, Éditions Albin Michel, 1987

Il semblerait qu'en effet, il ne faille pas réveiller l'enfant, car ne se souvenant pas de cet épisode, il serait en proie à une grande confusion.
Est-ce que ton fils fait des siestes ? Dort-il suffisemment ? c'est peut être une piste...
Vous pouvez essayer de parler avec lui, des changements qui se produisent en ce moment...
Je vous souhaite que ces terreurs nocturne ne soient qu'un épisode très court, j'imagine comme ce doit être éprouvant.

j'ai eu ça avec Axel quand on a déménagé (tiens tiens même contexte...) chez nous la seule chose qui a marché c'était de ne rien faire, simplement lui parler en disant qu'on était là que tout allait bien qu'on restait près de lui, ça durait quelques minutes puis il s'apaisait. je ne savais pas le consoler en le prenant près de moi, il me repoussait
Eve, tout le contraire, ça lui est arrivé au moment de l'entrée à l'école (deux nuits seulement) mais seuls mes bras la calmaient...

fais au feeling, ne t'en fais pas, c'est normal qu'il soit perturbé et, si il suit le chemin d'Axel au moment du déménagement la phase suivante sera celle des cauchemars

courage

Cathy a écrit:

J'ai trouvé ceci :

Citation :

Les cauchemars et les terreurs nocturnes des enfants sont des choses terribles à vivre pour les parents, qui ne savent pas toujours comment réagir et se sentent souvent impuissants.
Quelles sont les différences entre cauchemars et terreurs nocturnes? Dans les cas de terreur nocturne, l’enfant se réveille brusquement dans un état de panique aigüe, et il aura au moins deux des symptômes suivants :

- Il se réveille en poussant un cri strident.
- Il est en proie à la terreur ou à la souffrance.
- Il pleure, gémit, hurle, marmonne de façon incohérente.
- Il s’assoit brusquement, bondit hors du lit ou court dans la pièce.
- Les yeux de l’enfant sont ouverts mais il ne voit pas, il paraît hébété. Il peut avoir des hallucinations.
- Son cœur bat deux fois plus vite que normal, sa respiration est rapide et superficielle.
- Il reste agité quelques minutes (jusqu’à 30 minutes).
- Il repousse les tentatives de consolation.
- Ces crises arrivent habituellement 1h30 après qu’il se soit endormi.
- Ces crises se produisent habituellement entre 3 et 8 ans.
- L’enfant ne se rappelle pas ou presque d’images de rêve.
- Il ne se rappelle de rien le lendemain matin.

Comment intervenir

- Soyez disponible et protecteur
- N’essayez pas de maintenir l’enfant de force ou de l’immobiliser, sauf s’il le faut absolument pour sa sécurité. Toute contrainte peut intensifier la crise.
- Ne grondez pas, n’essayez pas de réveiller l’enfant en le secouant, en criant ou en le giflant.
- Touchez l’enfant avec légèreté, entourez-le de vos bras ou caressez son visage et ses bras avec douceur.
- Marchez à côté de lui s’il s’agite.
- Parlez-lui doucement, calmement. Rassurez-le, même s’il ne paraît pas vous entendre. Dites-lui : « Tout va bien, c’est fini maintenant, je suis là… »
- Passez-lui sur le visage, avec légèreté, une débarbouillette imbibée d’eau tiède. Cela peut l’aider à se ressaisir.
- Laissez-le se rendormir dès que possible.
- Dites-vous bien qu’il n’y aura probablement rien de grave. Les accès de terreur nocturne disparaissent avec le temps.

Les causes probables

Les terreurs nocturnes sont considérées par les spécialistes comme un dérèglement du mécanisme de réveil dû à une immaturité du système nerveux. L’épisode débute pendant un stade de sommeil très profond. Au lieu de traverser progressivement les stades jusqu’au stade 1, l’enfant est catapulté vers le réveil, et la modification rapide de la conscience provoque un sentiment de terreur. On ne comprend pas toutefois pourquoi surviennent ces crises. Parfois elles sont déclenchées par une fièvre élevée, une blessure crânienne ou d’autres traumas. Elles peuvent aussi être provoquées par un stress affectif, de la fatigue, un stimulus externe brusque.

La plupart des spécialistes affirment que ce trouble bouleverse davantage les parents ou les témoins que la victime elle-même, qui d’ordinaire ne se souvient de rien. Il semble que les terreurs nocturnes soient plus fréquentes chez les garçons chez qui en outre elles se prolongent plus longtemps. En général, les enfants en sont délivrés à l’adolescence.

Traitements

En général, on recommande de voir un pédiatre ou de consulter un centre d’étude du sommeil. Certains spécialistes sont d’avis qu’il ne faut pas traiter, mais simplement être patient. Si votre enfant prononce des phrases intelligibles, notez-les avec soin, elles pourront peut-être vous aider à dénouer les fils entremêlés de sa terreur. Il pourra dans certains cas être utile de consulter un psychologue pour enfants.
L’homéopathie peut aussi s’avérer très utile, mais notez bien qu’il n’existe pas de produit miracle, chaque cas est différent et une consultation avec un homéopathe (uniciste de préférence) sera nécessaire pour cibler le bon produit.

Source : "Comprendre les rêves de vos enfants", par Patricia Garfield, Éditions Albin Michel, 1987

Il semblerait qu'en effet, il ne faille pas réveiller l'enfant, car ne se souvenant pas de cet épisode, il serait en proie à une grande confusion.
Est-ce que ton fils fait des siestes ? Dort-il suffisemment ? c'est peut être une piste...
Vous pouvez essayer de parler avec lui, des changements qui se produisent en ce moment...
Je vous souhaite que ces terreurs nocturne ne soient qu'un épisode très court, j'imagine comme ce doit être éprouvant.

Le résumé que tu as trouvé est extrêmement parlant dis donc! C'est précisément ça que nous vivons pour le moment. Depuis sa naissance, on trouve que c'est un petit dormeur en journée et la nuit. La journée il n'a jamais dormi, nourrisson, que 3X20 min Maintenant qu'il est plus grand, qu'il n'a plus qu'une sieste par jour, il dort environ 1h-1h30....pas beaucoup hein. Mais il se réveille en forme....C'est pas possible de l'obliger à dormir. Je pense donc qu'une fois arrivé le soir, il est vraiment crevé nase mais on n 'arrive pas à lui faire faire de petites sieste supplémentaire. Et avec le stress du déménagement, j'imagine que ça ressort en terreur nocturne.

On réagit comme conseillé et ça me rassure quand même beaucoup de voir qu'on n'est pas trop à côté de la plaque lol
En général, je sens au feeling ce que je dois faire avec Loïc mais là, j'étais assez désemparée de le voir ainsi...

merci cathy

Sylvie a écrit:

j'ai eu ça avec Axel quand on a déménagé (tiens tiens même contexte...) chez nous la seule chose qui a marché c'était de ne rien faire, simplement lui parler en disant qu'on était là que tout allait bien qu'on restait près de lui, ça durait quelques minutes puis il s'apaisait. je ne savais pas le consoler en le prenant près de moi, il me repoussait
Eve, tout le contraire, ça lui est arrivé au moment de l'entrée à l'école (deux nuits seulement) mais seuls mes bras la calmaient...

fais au feeling, ne t'en fais pas, c'est normal qu'il soit perturbé et, si il suit le chemin d'Axel au moment du déménagement la phase suivante sera celle des cauchemars

courage

c'est dingue comme un enfant n'est pas l'autre et encore une fois, notre feeling de parent est super important! Je suis quand même contente d'en apprendre un peu plus sur ce phénomène et de lire ton expérience (lara m'a dit aussi que son premier avait été sujet à ça)....c'est rassurant.

Merci les filles

tu en es où avec les terreurs nocturnes de Loïc, Gaëlle? parce que là ma puce vient de m'en faire une dans le genre pas mal du tout

Ho bin zut... Elle a eu une mauvaise journée la petite Eve ? :|

Cathy a écrit:

Ho bin zut... Elle a eu une mauvaise journée la petite Eve ? :|

ben non pas que je sache mais à l'école ils ont eu un premier contact avec St Nicolas...possible que le grand Saint lui ai fait peur

Sylvie a écrit:

Cathy a écrit:

Ho bin zut... Elle a eu une mauvaise journée la petite Eve ? :|

ben non pas que je sache mais à l'école ils ont eu un premier contact avec St Nicolas...possible que le grand Saint lui ai fait peur

aie :o
pour nous, ça fait une semaine que Loïc n'en a plus eue de véritable (même s'il se réveille encore en pleurant mais ça n'est plus des terreurs nocturnes)...je n'ose pas me réjouir de peur que ça ne recommence :no:

j'espère qu'elle passera une meilleure nuit, sans ces frayeurs

Ca fait 3 nuits de suite que Juliette (3 ans) a des terreurs nocturnes. Ca lui était arrivé quelques fois, mais pas trois jours de suite. Elle commence à hurler, à chaque fois vers 23h, elle tape des pieds, n'arrive pas à se réveiller, je lui donne à boire, la conduis au pipi, la prends dans mes bras, on descend, je lui donne ses jouets, je lui masse son ventre, la berce, la caresse, elle hurle et je ne sais que faire pour la calmer. Puis soudainement, elle s'arrête après 15-20 minutes.
C'est très bizarre. Dans ses moments-là, elle ne veut que moi et envoie balader son papa.
Demain, maman voulait l'emmener voir le feu d'artifice et donc, qu'elle reste dormir là-bas pour qu'elle ne doive pas se lever tôt.
Et vendredi, on comptait faire venir ma soeur en baby-sitting pour nous sortir (le patron du café où je travaillais quand j'étais étudiante l'a vendu et c'est sa dernière soirée. J'avais vraiment envie d'y aller car c'était très gai et mon ancien patron est vraiment un chouette gars et que c'est la dernière, y'en aura plus).
Dans ces conditions, j'hésite franchement.
Qu'en pensez-vous?

je sais qu'on en a parlé ici en tout cas.
Pour le reste, je pense que tu devrais aller à ta soirée, c'est important aussi que ta fille ne sente pas que tu es qq part déçue non pas de rester avec elle bien sûr mais de ne pas être à ta soirée. Bien sûr, je te connais, tu le ferais pour son bien-être mais je pense que son bien-être passe aussi par le tien et je suis sûre que ta toute petite soeur assurera comme un chef

Gaëlle a écrit:

je sais qu'on en a parlé ici en tout cas.
Pour le reste, je pense que tu devrais aller à ta soirée, c'est important aussi que ta fille ne sente pas que tu es qq part déçue non pas de rester avec elle bien sûr mais de ne pas être à ta soirée. Bien sûr, je te connais, tu le ferais pour son bien-être mais je pense que son bien-être passe aussi par le tien et je suis sûre que ta toute petite soeur assurera comme un chef

pareil tout pareil

Je pense comme les filles et un gros à Juliette au passage!

Je crois que je n'étais pas encore sur le forum lorsque vous avez parlé de cela. Ca se passe exactement comme dans l'article de Cathy :

"Dans les cas de terreur nocturne, l’enfant se réveille brusquement dans un état de panique aigüe, et il aura au moins deux des symptômes suivants :

- Il se réveille en poussant un cri strident. OUI
- Il est en proie à la terreur ou à la souffrance. OUI (elle dit j'ai mal mais l'enroit change tout le temps)
- Il pleure, gémit, hurle, marmonne de façon incohérente. OUI
- Il s’assoit brusquement, bondit hors du lit ou court dans la pièce. OUI(elle est très agitée, se relève, se recouce,...)
- Les yeux de l’enfant sont ouverts mais il ne voit pas, il paraît hébété. Il peut avoir des hallucinations. OUI
- Son cœur bat deux fois plus vite que normal, sa respiration est rapide et superficielle. ??
- Il reste agité quelques minutes (jusqu’à 30 minutes). OUI, 20 minutes environ
- Il repousse les tentatives de consolation. OUI
- Ces crises arrivent habituellement 1h30 après qu’il se soit endormi. OUI (elle s'endort généralement après 9h, même en allant au lit plus tôt)
- Ces crises se produisent habituellement entre 3 et 8 ans. OUI (elle a 3 ans)
- L’enfant ne se rappelle pas ou presque d’images de rêve. OUI (elle ne se souvient pas avoir eu de gros chagrin)
- Il ne se rappelle de rien le lendemain matin. OUI idem

Visiblement, je la prends dans mes bras et fais ce qu'il faut, j'essaye de la calmer en disant "maman est là, c'est tout"... et ça s'arrête tout seul.
Les causes probables.

C'est une petite dormeuse, ça fait longtemps qu'elle ne fait plus de sieste, mais c'est vrai qu'elle semble fatiguée, qu'elle a du mal à se réveiller le matin le matin. Hier, elle m'a même demandé pour faire une sieste dans mes bras (mais elle n'a pas réussi à s'endormir).

Si ça persiste, j'irai chez le pédiatre, mais j'espère ne pas devoir en arriver là.
Quant à ma sortie de demain, on verra comment ça se passera ce soir. Par contre, je crois qu'on va oublier le feu d'artifice, c'est tard.

Et merci pour cet éclaicissement

Mais cela peut arriver à partir de quel âge? C'ets assez inquiétant, comme truc, à vivre, non?!

AnneLG a écrit:

Mais cela peut arriver à partir de quel âge? C'ets assez inquiétant, comme truc, à vivre, non?!

là ils disent entre 3 et 8 ans mais Loïc en a eu à 18 mois, au moment de l'emménagement chez mes beaux-parents (qu'il connaissait au demeurant très bien et qu'il adore....je pense qu'on a mal préparé cette transition entre notre appart qu'il avait tjs connu et la future maison et que c'est "sorti" en terreurs nocturnes)

Ah ben tu vois... c'ets ce que je pensais. Mon pédiatre m'a dit de faire attention à ça avec Evane dans la maison.

AnneLG a écrit:

Ah ben tu vois... c'ets ce que je pensais. Mon pédiatre m'a dit de faire attention à ça avec Evane dans la maison.

il a bien raison

quand on a déménagé vers notre maison actuelle, j'ai vraiment fait participer Loïc au départ en prenant un carton dans lequel il a lui-même déposé ses jouets préférés. Evane est petite encore mais c'est important de la faire participer, de lui parler, de la faire voir ce qui se passe je pense

Juliette a pile l'âge (3 ans). Mais il n'y a pas eu de gros changement dans sa vie ces derniers temps (sauf mes congé de la semaine passeé qui l'ont peut-être fatiguée)...

Mme Doel a écrit:

Juliette a pile l'âge (3 ans). Mais il n'y a pas eu de gros changement dans sa vie ces derniers temps (sauf mes congé de la semaine passeé qui l'ont peut-être fatiguée)...

ça n'est pas forcément dû à un gros changement je pense
ou alors un changement dans son évolution à elle, dans son développement?

Gaëlle a écrit:

Mme Doel a écrit:

Juliette a pile l'âge (3 ans). Mais il n'y a pas eu de gros changement dans sa vie ces derniers temps (sauf mes congé de la semaine passeé qui l'ont peut-être fatiguée)...

ça n'est pas forcément dû à un gros changement je pense
ou alors un changement dans son évolution à elle, dans son développement?

A son âge le fait que le rythme soit différent est déjà un énorme changement; plus d'école, maman disponible, plein de sorties...ça peut aussi être du à son développement en effet. Souvent on dit que c'est le cerveau qui décharge un trop plein; trop plein d'émotions, de questions, de changements...il ne faut pas chercher à éliminer les causes, simplement attendre que ça passe même si c'est usant...

ben oui, on va attendre, mais j'espère que ça finira vite. Avant, c'était une fois toutes les lunes, mais là, 3 nuits de suite, ça craint!