En ce moment sur grand écran

Abigaelle a écrit:

Brunehaut, il sort demain je crois. Il y a une avant première tout à l'heure chez moi, mais je serai à la chorale.
J'irai le voir aussi, c'est un peu obligé, et peut-être même avec l'Homme, qui sait (le ciné est chez moi un plaisir solitaire)

Bon, ben pour une fois, je suis en avance !

Nous pensons y emmener ma progéniture (bon, va falloir que je lui trouve un 'tit nom à lui aussi, ça devient lourd !) la semaine prochaine, si tu l'as vu avant, je veux bien ton retour.

Ce soir j'hésitais entre la paresseuse attitude ("les aristos") et la méthode, labellisé "découverte UGC" que j'avais peur de trouver ennuyeux, mais que j'ai finalement choisi parce qu'il ne faut pas déconner, Gaëlle! (moi ).

Or, j'ai adoré, c'est d'une formidable cruauté, ça a si je ne m'abuse toutes les caractéristiques des tragédies classiques: unité de temps, de lieu (enfin presque), (presque) pas de violence physique sur scène... par contre pour tout autre type de violence, allons y gaiement!

J'ai trouvé qu'au gré des situations, je me retrouvais retournée comme une crêpe, touchée par un des personnages, puis presque méprisante à son sujet (c'est une émotion que j'éprouve rarement pourtant), et comme c'est ce qui leur arrive aussi, au bout du compte, c'est que je ne vaux pas mieux qu'eux .

Et puis il y a un suspense insoutenable et dont on a envie qu'il dure pourtant.

Et puis Eduardo Noriega... Vous connaissez?

Cette vacherie de regard innocent qu'il a et ce dans un corps, euh... Aheum! enfin bref, à coté Canto et PO, c'est du pipi de chat.

Bon, tu m'as convaincue ! Nous allons aller le voir. Je viens de regarder les extraits et la bande annonce, et l'idée me plaît. Peut-être parce que je suis concernée en ce moment par toutes les techniques de recrutement diverses et variées des employeurs.

Je suis passée chercher le programme de cette semaine (mais pas le temps de m'arrêter pour un film).

Cette semain mon coeur balancera entre:

Indigènes sauf que l'homme lui, n'a pas envie de le voir, estimant être suffisamment informé sur ce qu'il relate et moi les films de guerre...

Le diable s'habille en prada

la science des rêves, quand même, mais il faut voir les horaires.

Et le vent se lève à moins que je ne cède à la facilité et n'aille voir le navet du moment les aristos

Le diable s'habille en prada me tente assez moi mais aurai-je le temps, la possibilité ...

Caroline a écrit:

Le diable s'habille en prada me tente assez moi mais aurai-je le temps, la possibilité ...

J'ai lu le bouquin. Un vrai truc de mijolles!

Moi aussi, ça me tente, Le diable s'habille en Prada...

Madamedoel a écrit:

Caroline a écrit:

Le diable s'habille en prada me tente assez moi mais aurai-je le temps, la possibilité ...

J'ai lu le bouquin. Un vrai truc de mijolles!

mijolles ???

Caroline a écrit:

Madamedoel a écrit:

Caroline a écrit:

Le diable s'habille en prada me tente assez moi mais aurai-je le temps, la possibilité ...

J'ai lu le bouquin. Un vrai truc de mijolles!

mijolles ???

bonnes femmes. Genre Bridget Jones branchée

Madamedoel a écrit:

Caroline a écrit:

Le diable s'habille en prada me tente assez moi mais aurai-je le temps, la possibilité ...

J'ai lu le bouquin. Un vrai truc de mijolles!

J'ai pas aimé du tout le bouquin.

Mais à mon avis, celles qui ont aimé Bridget Jones l'aimeront (j'ai pas aimé Bridget Jonas).

Vu "la méthode" hier soir. Bien aimé. Mais c'est peut-être pas le top quand on cherche du boulot

J'attends vos avis sur tout pour choisir mon prochain film. Allez, allez, au ciné, oust !

j'ai aimé Bridget Jones en bouquin mais pas en film. Le Diable... je l'ai lu en vacances. Ca va, j'ai moyennement aimé, mais ça m'a aussi énervée tout plein. Bon, je ne vais pas trop en dire

Lorène a écrit:

Mais à mon avis, celles qui ont aimé Bridget Jones l'aimeront (j'ai pas aimé Bridget Jonas).

Il est où le smiley qui pouffe, discrètement, mais qui pouffe?

Abigaelle a écrit:

Lorène a écrit:

Mais à mon avis, celles qui ont aimé Bridget Jones l'aimeront (j'ai pas aimé Bridget Jonas).

Il est où le smiley qui pouffe, discrètement, mais qui pouffe?

Je pensais à Caro en majorette en train de lire ça... la honte !!

Les nouveauté de la semaine :


* Indigènes *

En 1943, alors que la France tente de se libérer de la domination nazie, le parcours de quatre "indigènes", soldats oubliés de la première armée française recrutée en Afrique.
Abdelkader, Saïd, Messaoud et Yassin, réputés pour leur courage, sont envoyés en première ligne. Argent, amour pour la France ou pour l'armée française, foi en la liberté et l'égalité, leurs motivations divergent pour un même combat, libérer la France, les armes à la main.

Ca, j'irai bien le voir... Mon grand père a combattu avec les marocains au sein de la 2nd DB, alors je penserai à lui...

* Le Diable s'habille en Prada *

Fraîchement diplômée, Andrea débarque à New York et décroche le job de rêve. Mais en tant qu'assistante de la tyrannique rédactrice en chef d'un prestigieux magazine de mode, elle va vite découvrir ce que le mot "enfer" veut dire...

Ca aussi, pour mon côté (Je viens de Cannes, il faut dire) "poulette superficielle à mort".

* Hard Candy *

Hayley et Jeff se sont connus sur Internet. Elle est une très belle adolescente de 14 ans, et lui un séduisant photographe trentenaire. C'est elle qui a suggéré d'aller chez lui pour être plus tranquille, elle qui a voulu qu'il prenne quelques photos, elle qui leur a servi à boire et a commencé à retirer ses vêtements...

Lorsqu'il se réveille, Jeff est ligoté et Hayley retourne tout chez lui. Elle a des questions à lui poser, et elle est décidée à obtenir des réponses. Elle sait qu'elle n'est pas la première adolescente à venir chez Jeff, elle veut découvrir ce qu'est devenue Donna Mauer.

Sur le net, elle a également appris comment on pouvait jouer avec un bistouri, et elle meurt d'envie d'essayer...

Ca, ce serait pour mon côté "j'aime me faire peur et regarder les films au travers de mes mains devant mes yeux..." Et la dernière phrase du commentaire, je la trouve limite grostesque

* Les Amitiés maléfiques *

Au moment de choisir leur vie, Eloi et Alexandre tombent sous l'influence d'André. Celui-ci devient, tout à la fois, leur ami, leur directeur de conscience, leur imprésario, leur maître à penser.
Un jour, André disparaît...

Ca, ça ne me dit rien du tout...

* Voiture de luxe *

Un instituteur, Li Qi Ming, proche de la retraite, part à Wuhan, à la recherche de son fils dont il n'a plus de nouvelles. Sa femme gravement malade aimerait revoir leur fils avant de mourir.
Il est accueilli par sa fille, Yanhong, qui travaille la nuit comme hôtesse dans une boîte de karaoké. Elle lui présente un policier qui va l'aider dans ses recherches et avec lequel il va se lier d'amitié. Le père fait également la connaissance de l'ami de sa fille, propriétaire du karaoké.
Lors d'un dîner où tous les quatre sont réunis, le vieux flic reconnaît dans le fiancé de Yanhong l'homme qu'il a mis en prison dix ans plus tôt...

J'aime le cinéma d'art et d'essais asiat', c'est mon côté bobo-rive gauche-hype... Alors, peut être celui là j'irais le voir...

* Monsieur et monsieur *

Film d'animations !!

La Pêche aux princesses - Blaise, le balaise ! - Quand on était jeune...
Les aventures burlesques de deux petits ours, "Monsieur" et "monsieur", personnages à l'imagination débordante partis à la rescousse d'une princesse aux allures de poisson, défendant leur nouveau potager contre un bouc bien mal intentionné ou expérimentant l'hibernation dans le pays des pingouins...
Un grand classique de l'animation tchèque.

Ca à l'air sympatoche ça...

* La Dignité du peuple *

Après Mémoire d'un saccage - Argentine, le hold up du siècle, qui démontait les mécanismes ayant conduit l'Argentine à la crise économique de 2001, La Dignité du peuple montre les conséquences de la crise sur la population. Le film dépeint par petite touche, à travers tout le pays, le portrait d'hommes et de femmes qui ont su relever la tête et combattrent pour retrouver, malgré la faim et la misère, leur dignité.
C'est un film sur le pouvoir de la résistance sociale et sur la volonté d'un peuple blessé qui cherchent à reconstruire son pays.

Je ne suis guère très très au fait de la situation politique en Argentine, mais ma foi...

* She's the Man *

L'équipe féminine de foot de Viola ne fera pas sa rentrée cette année. Profitant de l'absence de son frère jumeau Sebastian, elle se déguise en lui pour intégrer l'équipe des Illyria Boys. Mais elle n'avait pas prévu qu'elle tomberait amoureuse de son binôme Duke qui lui-même n'a d'yeux que pour Olivia. Les choses commencent à se corser quand cette même Olivia craque pour Sebastian qui est en fait une fille ! Et que le vrai Sebastian revient plus tôt de Londres en n'ayant aucune idée qu'il a été remplacé sur le campus par sa jumelle.

Jamais de la vie !!

Planète interdite

Au XXIIe siècle, le vaisseau spatial C 57 D se pose sur la lointaine planète Altair 4. Une expédition dirigée par le commandant Adams vient enquêter sur la disparition, vingt années plus tôt, du navire spatial Bellérophon et de son équipage. Les explorateurs sont accueillis par Robby, un robot ultra perfectionné qui les conduit jusqu'à la formidable demeure de l'énigmatique Docteur Morbius. Celui-ci, avec sa fille Altaira est le seul survivant de l'expédition précédente qui a été décimée par une force inconnue...
Le Docteur Morbius explique qu'il a découvert qu'il y a plusieurs milliers d'années, la planète était habitée par des êtres à l'intelligence exceptionnelle, les Krells, qui ont mystérieusement disparu, laissant derrière eux des traces de leur civilisation : un cube gigantesque de plusieurs kilomètres de côté capable de fournir une énergie incommensurable.

Non, merci...

* Neil Young : Hart of gold. *

Jonathan Demme trace un portrait intime du légendaire chanteur/auteur/compositeur Neil Young, filmé à l'occasion du premier concert mondial Prairie Wind, au Ryman Auditorium de Nashville, le 19 août 2005. Entouré de certains de ses complices familiers, dont la star country Emmylou Harris, Pegi Young et le guitariste Ben Keith, Young interprète ici la totalité de l'album Prairie Wind, ainsi qu'une sélection des albums Harvest et Harvest Moon, qui forment avec celui-ci une manière de trilogie.
L'occasion unique d'appréhender un artiste à travers sa musique et dans son rapport à la vie, au temps et à la mort.

Faut aimer Niel Young et la country, quoi...

* L'Ange ivre *

Appelé en pleine nuit à soigner un jeune gangster pour une blessure à la main, un médecin alcoolique décèle une affection plus grave, la tuberculose. Il tente de soigner le jeune homme qui ne veut rien entendre, et malgré les disputes et les menaces, il se prend d'amitié pour lui. Le chassé-croisé des deux hommes que tout oppose trouvera une issue tragique dans les milieux violents de la pègre japonaise.

Encore un asiat', mais moins intriguant que l'autre, pour moi...

Mais, ce que je veux absolument voir, ce que j'attends avec impatience, c'est...

Le parfum.

Et il sort le 4 octobre...

Source

Lorène a écrit:

Abigaelle a écrit:

Lorène a écrit:

Mais à mon avis, celles qui ont aimé Bridget Jones l'aimeront (j'ai pas aimé Bridget Jonas).

Il est où le smiley qui pouffe, discrètement, mais qui pouffe?

Je pensais à Caro en majorette en train de lire ça... la honte !!

j'avais pas vu !

dis donc Lorène

Cathy a écrit:

* Neil Young : Hart of gold. *[/b]

Jonathan Demme trace un portrait intime du légendaire chanteur/auteur/compositeur Neil Young, filmé à l'occasion du premier concert mondial Prairie Wind, au Ryman Auditorium de Nashville, le 19 août 2005. Entouré de certains de ses complices familiers, dont la star country Emmylou Harris, Pegi Young et le guitariste Ben Keith, Young interprète ici la totalité de l'album Prairie Wind, ainsi qu'une sélection des albums Harvest et Harvest Moon, qui forment avec celui-ci une manière de trilogie.
L'occasion unique d'appréhender un artiste à travers sa musique et dans son rapport à la vie, au temps et à la mort.

Faut aimer Niel Young et la country, quoi...
[b]

Ca pourrait m'aller ça. Je vais voir de plus près.

Le diable s'habille en Prada

Bon, je l'ai vu ce soir. Il fait partie de ces films qui se laissent regarder mais ne me transportent pas.

Très Américain.
Que des gens beaux. Rien ne dépasse. Tout le monde semble considérer que l'actrice principale (bien jolie) est grosse parce qu'elle fait du 40 et la félicite lorsqu'elle atteint le 38.
Pas de vraie surprise, quoi.

Je ne regrette pas de l'avoir vu (de toute façon il y avait un monde fou et le seul que je n'avais pas vu à cette heure là, c'était celui là, et puis j'ai rencontré des gens sympas ), mais il ne m'aurait pas manqué dans le cas contraire.

Tiens je n'ai même pas encore regardé le programme de cette semaine.

Brune, tu as vu "Indigènes", je crois. Tu le conseilles ou pas?

A quoi ça sert que je me décarcasse ?

Cathy a écrit:

A quoi ça sert que je me décarcasse ?

Mais ma douce Cathy... ça change le mercredi, tu sais.

Et puis ce n'est pas forcément pareil dans tous les cinés, tout ça...

Han !!

Va falloir que je recommence tout ?


Mais de toute façon, cette semain, le seul film qui compte, c'est LE PARFUM !!!

Cathy a écrit:

Han !!

Va falloir que je recommence tout ?


Mais de toute façon, cette semain, le seul film qui compte, c'est LE PARFUM !!!

Tu n'as pas peur qu'il soit décevant. ça aurait dû être un film en odorama.

Je devrais relire le livre avant de le voir, pour bien faire.

parce que je ne parle plus français...

Je suis allée voir Le grand Meaulnes avec une grande amie, prof de lettres... j'ai bien aimé (mais vraiment sans plus )... mais surtout j'ai A-DO-RÉ les fous rires que nous avons pris en analysant le livre (en le comparant au roman.... on s'et poilées devant un chocolat chaud et une gigantesque glace, puis on s'est raconté comment allaient nos vies,
et enfin, elle m'a ramené chez moi (avec sa voiture alors que j'habite à 200 mètres du bar ou on buvait un pot...)
et là, clou de la soirée, dans la voiture, elle m'a fait découvrir BÉNABAR !!!
Chuis fan !!!!!!!!!!!

(on a convenu que notre prochaine sortie ciné toute les deux sera Le parfum... )

Je ne sais pas... Suskind a déclaré que le seul cinéaste qui pouvait réaliser une adaptation de son livre était Kubrick. Mais l'est mort...